4 avril 2013
Émoi
Être de l’âtre du charmeur,Miroir phallique pénétrant les cœurs;Ocarina jouant d’ardeurs et de pleurs,Tu te dévoiles comme tant de clameurs,Ils t’ignorent et te délaissent par torpeur. Oh, mais moi je t’honore mon adoré,Nulle âme,Nul drame,Œuvre ineffable...