4 avril 2013
Émoi
Être de l’âtre du charmeur,
Miroir phallique pénétrant les cœurs;
Ocarina jouant d’ardeurs et de pleurs,
Tu te dévoiles comme tant de clameurs,
Ils t’ignorent et te délaissent par torpeur.
Oh, mais moi je t’honore mon adoré,
Nulle âme,
Nul drame,
Œuvre ineffable ne pourra comme moi t’arboré.
Idiome du tout je t’enlace,
Tout comme Narcisse point ne me lasse,
Obstacle de l’ennuie,
Mordant les regards de tes pluies,
Éphémère le temps t’évanouie.
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